Il faut pour commencer mettre en contexte la situation actuelle avec la pandémie mondiale. Les investisseurs recherchent à présent bien plus qu’une destination d’investissement, ils veulent une meilleure qualité de vie, se sentir et être en sécurité, Ici, ils peuvent trouver cette sécurité.

Maurice est relativement ‘Covid-safe’ et la campagne de vaccination progresse vite en marge de la réouverture complète des frontières en octobre. Plus de 600 000 Mauriciens ont déjà reçu leur deuxième dose de vaccin et cela nous rapproche de l’objectif d’immunité collective, Maurice peut donc offrir cette sécurité.

Ensuite, bien évidemment, il est clair que les principaux atouts du pays restent notre démocratie saine, la stabilité politique, la sécurité, les avantages fiscaux et notre climat des affaires qui est favorable et ouvert à tous les types d’investissements.

Maurice est bien plus qu’une île paradisiaque et l’Economic Development Board (EDB) a plusieurs campagnes en cours pour attirer les investisseurs vers notre destination.

Le marché est divisé. Il y a ceux qui optent pour l’investissement minimum de USD 375 000 en vue de l’obtention de l’Occupation Permit et ceux qui recherchent le nec plus ultra des propriétés paradisiaques.

En général, la première concerne surtout la région Afrique; plus particulièrement les Sud-africains, et la deuxième concerne les Européens ou encore le Moyen-Orient.

Au niveau de MSIR, nous travaillons avec les deux catégories. Du moment que les développeurs ont des produits de qualité, nous sommes confiants de pouvoir les vendre. Aussi, l’excellente réputation de l’immobilier mauricien n’est plus à faire, nous recevons de nombreuses demandes venant des deux catégories. 

Certainement, les récentes mesures budgétaires, dont l’extension de la période couvrant le permis d’occupation qui passe à dix ans et les autres incitations de l’EDB, ont eu un impact positif.

Nous recevons par ailleurs de plus en plus de demandes de professionnels qui veulent venir vivre et travailler dans le pays. Pour l’instant la plus forte demande provient du marché sud-africain, surtout en tenant compte de l’instabilité en Afrique du Sud. Cette clientèle ne veut pas forcément acquérir une propriété, mais ils sont plus enclins à louer.

On peut trouver de tout, mais la tendance générale varie entre Rs 40 000 et Rs 250 000 mensuellement.

Toutefois, il y a aussi cette clientèle niche qui cherche à louer des maisons sur la plage et des villas luxueuses qui peuvent coûter plus de USD 10 000 par mois. Dans ce cas, il s’agit surtout d’hommes d’affaires qui viennent ici pour une année sabbatique. 

Je ne suis pas trop inquiet, au vue de la tendance mondiale, il est clair que ceux qui sont déjà fortunés le resteront et au contraire ils saisissent l’opportunité d’investir dans l’immobilier, surtout dans des destinations comme la nôtre, et ils continueront d’acheter. 

Bien entendu notre ambition est d’être l’agence immobilière la plus influente de l’île et de se tailler la part du loin; que cela soit pour les ventes et la location.

Nous travaillons dur pour atteindre cet objectif et consolidons notre équipe en recrutant les meilleurs agents afin d’offrir le meilleur service possible à nos clients.